Comment trouver son éditeur ?
Conseil N° 1 :
Il n’y a pas de règle particulière pour la présentation d’un synopsis. Qu’il soit seulement lisible, clair, compréhensible (c’est-à-dire non hermétique), et pas trop long (2 à 3 pages, c’est un maximum). Si on peut le faire en une page, c’est encore mieux (il faut penser que celui qui va le lire en a beaucoup d’autres à ingurgiter). Veiller à l’absence de fautes d’orthographe est une question de politesse pour celui qui le lira. Il faut d’ailleurs toujours se mettre à la place du lecteur (l’éditeur dans le cas présent) et faire en sorte que le texte soit attrayant, facile à lire, et qu’il donne envie d’aller jusqu’à la dernière ligne.
Conseil N° 2 :
Le seul envoi postal d’un projet est très aléatoire. Là encore, le très grand nombre de dossiers reçus par les éditeurs enlève beaucoup d’efficacité à ce type de prise de contact. Le procédé peut marcher quelque fois, mais c’est plutôt rare. Il faut beaucoup mieux tenter d’obtenir un rendez-vous, profiter d’un salon BD pour dialoguer avec un responsable, essayer de se faire recommander, etc… Ce genre de contact vaut aussi pour la recherche d’un dessinateur quand on en cherche un.
Conseil N° 3 :
Ou trouver les bonnes adresses ? Si on n’a aucun tuyau particulier, il reste les albums, le dernier catalogue encyclopédique du BDM (sous-titré : Les trésors de la BD), les salons BD, les festivals BD, les expositions BD...